Le 19 mai dernier, la Ministre de l’enseignement supérieur et de l’enseignement de promotion sociale Valérie Glatigny  invitait les villes et les communes à mettre à disposition des étudiants des espaces d’étude afin de leur permettre de réviser dans des conditions optimales.

La Commune d’Uccle a répondu « présente » à cette appel de la Ministre, au travers de l’asbl Service Ucclois de la Jeunesse (SUJ)! Dès ce mercredi 3 juin et jusqu’au 19 juin, la salle 1180 (située rue Robert Scott) est à disposition chaque après-midi pour les éducateurs de rue d’Uccle pour leur projet « Espace d’étude » avec leurs 30  jeunes qu’ils encadrent quotidiennement!

Des éducateurs ou des gardiens de la paix seront présents et des conseils en méthodologie peuvent être prodigués sur demande. 


« La crise sanitaire liée à la pandémie du COVID-19 a fortement perturbé les conditions de préparation des examens pour de nombreux étudiants. Toutes et tous ne disposent malheureusement pas chez eux d’un endroit calme pour se concentrer et réviser. Certain.e.s doivent partager le même endroit avec un parent en télétravail, des frères ou sœurs qui font leurs devoirs ou jouent,… Ce n’est pas idéal pour étudier en toute sérénité », déclare Yannick Franchimont, administrateur-délégué de l’asbl Service Ucclois de la Jeunesse.

« Il était important pour notre asbl de mettre une salle à disposition pour le projet mené par les éducateurs de rue et leurs étudiants. Les mesures sanitaires sont respectées: espace conséquent entre les bancs, sanitaires à disposition et port du masque recommandé. Si l’expérience s’avère concluante, nous réitérerons certainement cette opération pour les blocus à venir », nous explique Aurélie Czekalski, Présidente de l’asbl Service Ucclois de la Jeunesse.  

« Le projet répond à une demande spécifique pour les éducateurs de rue présents au sein de notre commune. Nous en profitons pour remercier Valentine Delwart, Echevine en charge de la jeunesse ainsi que François Lambert, Echevin en charge de l’Action sociale et de la Prévention », ont indiqué Aurélie Czekalski et Yannick Franchimont.